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Thursday, October 28, 2010

La compagnie

LA COMPAGNIE


Il était une fois, une gang de chum; Denis et Jean Guy qui un jour en ont eu assez avec la compagnie pour laquelle ils travaillaient. Ils ont donc décidé de la faire disparaître pour pouvoir partir leur propre compagnie. Denis décida de se faire transférer dans une autre division pour pouvoir faire de la marde et mêler les ingénieux qui y travaillaient. Denis entrepris donc de faire rager leur chef. François, le chef des ingénieux, avait les nerfs à vif de naissance ce qui rendait la tâche facile à Denis. Il n'avait qu'à le contrarier pour déclencher une colère extrême chez ce dernier. Pas besoin de vous dire qu'il était craint de tous.

Pendant ce temps, Jean Guy entrepris de donner un mauvais nom à la compagnie. Pour ce faire, il engagea des techniciens sans allure. Il chercha un semeur de zizanie et trouva Mario. Mario était un prétentieux qui pensait que son salaire devait être basé sur ses besoins plutôt que sur ses compétences et que la compagnie pour laquelle il travaillait lui devait son existence. Mario avait la personnalité idéale pour irrité Jean Guy et lui donner une raison encore plus valable de quitter la compagnie. La prochaine étape était de trouver un technicien pour éloigner la clientèle. Un miracle se produisit. Parmi les candidats, se trouvait la créature parfaite pour arriver à cette fin. Un gros imbécile sans génie à l'air Frankensteinesque sans amis qui puait de partout et dont l'haleine donnait des étourdissement et faisait friser la secrétaire était un arme incomparable. Après quelques semaine du traitement de Pépé le pue, on était plus capable de le sentir. la secrétaire et la comptable ont été voir le directeur général de la compagnie pour lui demander d'ordonner au gros puant de se laver. Le directeur général ne sachant que faire demanda à Jean Guy de faire le message à Pépé. Sauvé par la peau des fesses, si le nauséabond se lave il ne puera plus et n'éloigneras plus la clientèle. Au lieu de le faire laver, Jean Guy décida de le faire aérer un peu. Il envoya Pépé au bout du mat d'un bateau pendant quelques heures. Ce n' était pas une bonne idée. Après avoir reçu des tonnes de plaintes, Environnement Canada sont venus enquêter sur les lieus pour savoir qu'est ce qui empoisonnait les mouettes à la marina de Longueuil et celle du vieux port de Montréal. Quand ils ont figurer que c'était l'odeur de Pépé, ils en ont ordonner l'enlèvement immédiat des lieux sous peine de poursuites criminelles pour cruauté envers les animaux. Ce que Jean Guy fit.

Une personne dégueulasse devait être engagée pour faire le pont entre tous et Pépé. C'est en faisant le tour des bars que le pont parfait fut découvert. Un type B.S. du nom d'Olivier était assis par terre dans un coin d'un bar de danseuse, la bave au menton, il rotait et pétait, il avait les deux yeux dans la graisse de bine. Il avait les cheveux gras mais ne semblait pas trop puer. Tu travaille ? lui demandais-je. Non il répondit. Sa voix était tellement irritante. Nul doute qu'il était un autre atout de plus, donc il fut engager sur le champ. La première journée de travail d'Olivier consistait à apprendre comment faire fonctionner le photocopieur. Walter a été choisi pour lui montrer comment ça marche. Dans les six semaines qui ont suivis, Olivier et Walter ont développer
une complicité professionnelle autour du photocopieur. Sachant qu'Olivier n'était pas très swift, Walter profita de cette ignorance dont il faisait preuve pour lui faire faire des milliers de photocopies et de ce fait se sauver du travail qu'il aurait autrement à faire lui même. Dans toute sa naïveté Olivier croyait que ça faisait partie de son apprentissage sur le photocopieur. L'autre aspect du travail d'Olivier consistait à rendre la communication possible entre la direction et Pépé.

Leur langage était tellement compatible qu'on aurait cru qu'ils étaient issus de la même école, voir même de la même famille. C'était presque de l'amour. Ils s'étaient même donner des petits noms intime tel que: mon gros suceux, ma grosse plaie, Ti-n'homme, tête de pue etc... Ils avaient en un court temps, développer beaucoup d'affection l'un pour l'autre. Ils partageaient les mêmes idées, les mêmes passions, les mêmes outils, le même banc de travail, le même dîner, leur tasses de café, leurs soirées devant la télé. Ils voyageaient ensemble. C'était les meilleurs amis au monde. Cette joie de vivre qui les unissait ne devait pas durer pour toujours tel qu'ils se l'avaient tellement jurer.

Puis un jour, ce qui devait arriver arriva. Le DG avait engager la créature de rêve d'Olivier. À partir de ce jour, Olivier ne voyait plus qu'elle. Plus rien autour de lui ne faisait du sens. Il avait été transporter instantanément dans un autre monde, un monde ou tout était rose, un monde ou il faisait bon vivre. Il était au paradis. Il lui fallait cette créature. Il faisait tout pour qu'elle le remarque. Il rêvait à elle tout les soirs, il la voyait dans sa soupe, dans ses pensées, même quand il regardait Pépé, il la voyait en lui. Pépé sentait Olivier s'éloigner de lui. Il n'était plus le même, il portait moins d'attention à son ami. Un atmosphère alourdi régnait autour d'eux. La dépression s'emparait de Pépé. Il n'avait plus envie de travailler. Pas qu'il travaillait beaucoup car Pépé est extrêmement paresseux de nature mais ça lui donnait une raison. Malgré tout il dut faire face à la réalité et finalement admettre à lui même que même si ça ne lui faisait pas plaisir, le destin avait frapper.

Mario avait soudainement besoin d'argent, donc il entra dans le bureau de Jean Guy pour lui demander une augmentation. Ca me prends un plus gros salaire. J'ai une femme, deux ex femmes ,une blonde et deux ou trois enfants avec chacune d'elles et je n'arrives plus. Je veux au moins 50 000. Jean Guy répondit: Mario, t'es tu malade? C'est pas parce que t'es un Gino pas capable de rester avec la même femme ou de te mettre une capote que tu vas avoir un plus gros salaire. Le salaire ça va avec des qualifications, de l'expérience et de la flexibilité pas avec tes besoins. Mais je vais quand même t'aider. Jean Guy ouvrit le tiroir de son bureau, en sortit une boite de condoms et la donna à Mario. Tiens sers toi en ça va éviter que tes besoins grandissent. Mario quitta le bureau en tempête, apparemment ça l'avait insulter.

Pendant ce temps, Denis s'en donnait à cœur joie avec les nerfs à François. On avait même dut embarrer le chef des ingénieux dans une cage avec son bureau de 8 à 5 pour l'empêcher de manger Denis. Mais tout ce que Denis faisait, n'était pas assez. Il restait encore une graine de sanité à François. Il redevenait un peu normal quand il quittait le bureau. Denis devait trouver comment lui faire vivre le cauchemar de sa vie. Denis savait que seul la prononciation de son nom était assez pour faire entrer François dans une transe de colère. Denis se rendit donc dans le bureau du D.G pour lui proposer de l'aide pour François. Écoute boss François est overload il a les nerfs à vif, faut l'aider. Notre chef de la recherche vas craquer. Il est à boute. Le boss répondit à Denis qu'il ne comprenait pas pourquoi Frank agissait de la sorte. Il avait pourtant l'air normal quand il avait été engager comme chef des ingénieux. Le boss donna carte blanche à Denis pour trouver une solution.

Olivier lui, était en amour. Pépé se sentait seul encore, délaisser. le seul ami qu'il avait jamais eu depuis sa naissance l'avait trahi. Pendant qu'il sombrait de plus en plus dans le désespoir, Olivier lui, n'en pouvait plus. Sa belle était la. Il devait la confronter, lui faire part des sentiments les plus profond qu'il avait pour elle. lui dire à quel point il la désirait. À quel point ses cheveux, ses yeux, ses lèvres, son corps, jusqu'au bout de ses pieds en passant par ses jambes , la pensée de pouvoir la caresser, explorer ses courbes et ses formes du bout de ses doigts, avec sa bouche, sa langue et surtout la pensée de joindre son corps avec le sien et de venir en elle l'excitait et le conduisait à l'extase. IL n'en pouvait plus, elle devait plus que jamais faire partie de sa vie. Ni Walter, ni Pépé ne l'avait fait sentir de cette façon. Il lui fallait absolument la convaincre de son amour pour elle. Pour la première fois de sa piètre existence, Olivier se sentait comme un vrai homme. Dorénavant il ne vivra plus que pour elle. Il lui donnera sa vie, ses passions, ses tendresses. Une nouvelle vie l'attendait. Oui , Monique était sa vie.

Walter de son coté faisait la belle vie. Il donnait tout son travail aux autres pour mieux s'amuser. Faisant semblant de toujours être occupé, il donnait des travaux d'assemblage de catalogues bidon à la petite Nicole, d' autres photocopies à Olivier et disait à tout le monde que c'était prioritaire. Puis il sortait du bureau en criant qu' il avait un rendez-vous important à ne pas manquer. Il sautait dans sa voiture et se rendait chez une amie pour la baiser et rire de ses confrères de travail. Son meilleur ami s'appelait Raymond. Raymond s'étant fait baiser non par Walter mais par le D.G qui lui, faisait des partys avec Walter.

Le service de la compagnie devenait de plus en plus pourrit. Et les clients de plus en plus rare. Jean Guy était content de ce qui se passait. Denis avait trouver un autre Denis pour travailler avec lui et tomber sur les nerfs à François. Deux Denis veut dire que le nom Denis serait prononcer deux fois plus souvent et bien sur que François deviendrait fou deux fois plus vite. Quand Frank a su que le ptit nouveau ingénieux s'appelait Denis, il est devenu hors de lui et a mordu le D.G. Le D.G a décider d' envoyer Frank à l'extérieur de la ville pour quelques temps pour qu' il se repose. Le D.G demanda à Nicole de trouver un endroit ou envoyer François et d' acheter des billets d'avion en conséquence. Une semaine plus tard, Frank prenait l'avion vers l'Afrique. Il pensait vraiment avoir un bon deal. François a su que son billet était one way quand il est débarqué en Afrique. En ouvrant l'enveloppe qui devait contenir son billet de retour il y trouva une carte de souhait Garfield lui souhaitant un bon et long voyage de Denis et Denis. hors de lui encore il sauta à la gorge du premier passant et l'étouffait à mort. C'était le mari de la fille d'un roi quelconque dont la tribut avait comme rituel que si quelqu'un tue le mari d'un membre royal, il doit remplacer le mort et vivre sa vie avec la femme de celui-ci. François était vraiment à boute et jura vengeance.

Au Québec, c'était une autre histoire. Denis lui, fêtait sa victoire avec quelques amis chez Nicole. Jean Guy ne pouvait y assister car il était en voyage d'affaire, un petit cours absolument utile personnellement, et le tout payer par la compagnie en Angleterre. Il avait convaincu le D.G que ça valait vraiment la peine d' y aller et que c'était un must. Ce que le D.G ne savait pas c'est que Jean Guy se préparait à partir et que ce cours lui servirait dans sa vie future et non pour la compagnie. Denis lui, avait bu un peu trop et s'était échapper sur ses plans de faire disparaître la compagnie avec Jean Guy. C'est en voyant la réaction de la secrétaire Nicole qu'il a dégriser. Tu peux pas faire ça qu'elle lui dit. Il la coinça dans un coin et lui lança une chaudière de cire chaude genre citronnelle et lui dit: Ceci est un avertissement ne répètes jamais ça à personne. Sinon je te transformerai en chandelle et tu t'allumeras et tu fondra. Sur le coup Nicole n'a pas eu peur parce que ça n'a pas fait mal. Mais quelques minutes plus tard, c'était une autre histoire. En arrivant à la lumière elle s'aperçut que ses jambes s'était transformées en chandelles et que les os de ses jambes étaient en train de devenir des mèches. Là elle a eu peur. Elle se rendit d'urgence à l'hôpital avant que ses jambes s'allument et fondent. Jamais elle ne parlerait des plans de Denis et Jean Guy. Elle avait eu la peur de sa vie. À partir de ce moment, Nicole pensait que Denis ne l'aimait plus et en était peiner.

Quand Jean Guy est revenu de voyage, Nicole lui a demandé si c'était vrai qu'il avait des plans contre la compagnie. Dans sa réponse affirmative, Nicole fonda en larmes. Je n'aurai plus de job, mon chum n'a pas fini ses études, je viens de m'acheter une maison que vais-je faire. En bon ami, Jean Guy lui répondit: Tu pourras travailler ailleurs jusqu' à ce que nous ayons besoin de toi et puis tu reviendras travailler avec moi et Denis. Oui mais, je crois que Denis ne m'aime plus; répliqua Nicole. Ben oui il t'aime encore, il était juste un peu nerveux quand il t'a envoyer une chaudière de cire chaude; rétorqua Jean Guy. À partir de ce moment la, Nicole se sentit dans l'équipe, faisant part de la combine et décida de faire chier ceux qu'elle ne portait pas dans son cœur. Or donc le lendemain, quand Walter lui apporta ses 1500 brochures à packager en catalogue, Nicole les plia tous en forme d'avions et les envoya voler partout dehors à l'heure du lunch. Walter Timmerman était en tabernacle et le nom lui a coller. On l'appelait désormais Timmerman tabernacle.

Nicole commençait vraiment à avoir du plaisir à foutre la merde dans la compagnie. Elle avait des idées pour créer des dépenses inutiles. Elle entrepris de les mettre à l’œuvre. Nicole connaissait la femme du D.G. Une poupounne poudrée genre couche toi et soit belle sans génie qui aimait plaire à son homme. On aurais cru qu'elle avait suivi des cours pour femmes soumises, genre: la joie du sexe sur demande, plaire à son homme; quel plaisir, obéir à son homme c'est tellement féminin et valorisant ou encore, comment avoir l'air niaiseuse. Nicole savait aussi que le D.G aimait beaucoup voyager. Aussi suggéra t-elle au D.G d'engager sa poupou..euh! sa femme comme secrétaire particulière lors de ses voyages à l'étranger. Il y a beaucoup d'avantages à l'avoir avec lui pendant ses voyages. Elle pourrait prendre des notes pour lui moyennant une ou deux semaines de training. Il n'aurait plus à magasiner pour des prostituées et elle ne penseras pas à aller ailleurs pour baiser. C'est tout ce qu'elle sait faire d'ailleurs et quand le D.G n'est pas autour, elle doit baiser pour vivre c'est un besoin fondamental. Et puis elle s'ennuie toute seule. Le D.G approuve l'idée de Nicole et la braillarde est ajoutée au pay roll. Une victoire de plus dans son sac, Nicole se sentie fière.

Pendant ce temps en Afrique, Frank devait baiser la fille du roi six à dix fois par jour sous peine de torture et y prenait goût. Il commençait à aimer ça et il avait aussi compris que dans la vie il y avait autre chose que les ordinateurs et ses poignets. Il avait presque oublié le nom Denis. Puis un jour dans la poste, un billet de retour avec une autre carte de souhait Garfield signé par Denis qui disait: on s'ennuie de toi. Il sentit aussitôt la pression lui monter à la tête mais cette fois-ci il se retenu. Il se souvenait dans quel merdier il s'était retrouver la dernière fois. Aussi pour la première fois de sa vie il réfléchissait. Enfin, se dit-il. Voila ma chance tant attendue pour me venger. Mais il n'était pas au bout de ses peines, il devait convaincre le roi de le laisser partir quelques temps avec promesse de revenir à sa fille. C'est bien lui dit le roi, je vais te permettre de te venger, mais si tu laisse tomber ma fille je te fait couper la ... le... m'enfin on se comprend. François allait-il tenir sa promesse? Ou allait-il prendre la chance que le roi lui fasse couper le... les... enfin.


L'ANEANTISATION DE DENIS DUPAUL.

De son coté, Denis s'occupait à corrompre le reste du personnel. Il avait trouver un moyen d'empêcher l'autre Denis de travailler. Excuse moi Denis, dit-il. Je voudrais te présenter quelqu'un. Quand Denis D vit la personne en question, quelque chose de bizarre se passa dans son métabolisme. Deux jours plus tard, tous se demandaient ce qui était arriver à Denis D. Depuis deux jours il était gelé sur place les yeux rond grand comme des loonies, la langue pendante qui lui dégoûtait sur les pieds et les bras étiré jusqu'au genoux. Comme s'il avait vu un martien ou quelque chose comme ça. Il avait même perdu le sens de la parole, tout ce qui réussissait à lui sortir de la bouche était; Daaa! Malgré que même avant ça, Daaaa! Faisait parti de son vocabulaire. En fait, Denis M lui avait présenter la comptable Heloise. Vu que Denis D servait de porte au bureau d'Heloise depuis deux jours et que Frank n'était pas revenu d'Afrique, personne de nos rechercheux n'avait reçu d'instructions pour travailler. Donc les ingénieux étaient en stand-by car ils n'ont aucun sens de l'initiative. Ils étaient tous assis sur les benchs, les doigts dans le nez et il commençait sérieusement à y avoir un méchant tas de crottes de nez par terre dans le lab.


LA VENUE DE SIMON (dans tous les sens du mot )


Le D.G. commençait vraiment à paniquer avec ses deadlines et toutes ces crottes de nez collés sous ses semelles. Il décida donc de rajouter du personnel en R&D. Walter fut donc affecter à la publication des différents documents nécessaire à la vente du produit. La tache lui allait bien. Faire des manuels inutile ou des catalogues inutile ça reste des publications inutile. Celle qui devait écoper serait Nicole bien sur. Elle ne voulait pas être seule à faire tout le travail, aussi demanda t-elle à Walter d'y affecter Monique et Olivier. Bonne idée pensa Walter comme ça mon travail prendra des proportions importante et j'aurai l'air important, organisé, prioritaire et indispensable. Aussitôt, il appela Olivier et lui demanda d'aller chercher Monique et de le rejoindre dans son bureau.

Olivier était tellement heureux de pouvoir être en relation direct avec Monique. Il l'a chercha partout dans les bureaux ou elle avait normalement affaire mais ne la trouva pas. Puis il pensa que peut-être serait-elle avec Simon. Depuis l'arrivé de Simon, Monique devait l'appuyer dans son travail. Et puis Simon éprouvait de la difficulté à s'adapter à son nouveau poste. Il faut comprendre que d'ou venait Simon, il n'avait pas les mêmes stress qu'à Montréal et que son travail la bas consistait principalement à ramasser la poste dans la boite à lettre au bord de la rue. Si quelqu'un lui parlait pendant qu'il était au bord de la rue, il avait de la misère à s'orienter pour retourner à sa maison.

Simon avait été affecté à la distribution des produits marin pour remplacer Walter qui lui comme on l'a vu plus tôt, était parti perdre son temps à la mise en marché de quelque chose de pas tout à fait fini d’être inventer. Dans le fond, c'était une façon pour le D.G de voir comment Walter se débrouillerait à gérer des frustrations. Et de plus le D.G avait une idée derrière la tête, Ca lui prenait le plus de cobaye possible de son cote. Il avait déjà démontrer qu'il pouvait manipuler certains de ses employés. Il avait des talents de marionnettiste. Il avait fait déménager Simon de Ste Flavie à Québec, de Québec à Ste Flavie juste pour voir si il pouvait le faire bouger comme il le voulait. Puis de Ste Flavie à Montréal. Comme vous devez vous en douter Montréal et Ste Flavie sont quelque peu différent. Le Simon Y'était mêler pis pas à peu près. Il n'avait pas vu sa femme depuis longtemps et avait oublier de quoi elle avait l'air, son nom, son âge et même qu'il était marié. Depuis son arrivé à Montréal, il était sorti quelques fois pour chercher le femme. Il est passer près de se faire littéralement baiser dans une affaire peu catholique d'investissement dans un restaurant. Heureusement pour lui, il en avait parlé à Walter qui après lui avoir frapper la tête sur le mur 25 à 30 fois l'avait finalement convaincu qu' il faisait un erreur.


LE CAUCHEMAR D'OLIVIER.


Peu après, Simon était devenu ami avec Monique. Il pensa qu'elle devait être moins dangereuse. Puis ça lui faisait quelqu'un de son calibre pour échanger des conversation. On les appelais Mutt et Jeff. Simon , 6 pieds 2 pouces 195 livres, Monique 4 pieds 10 pouces 195 livres. Au moins ils avaient quelque chose en commun, leur poids. Anyway, Olivier entra dans le bureau de Simon sans frapper, ce qu'il regrettera le reste de ses jours et Quel horreur! toute sa vie fut détruite par cette vue, son rêve d’être le seul dans la vie de Monique, un drame de plus dans sa pauvre existence. Il se senti trahi une fois de plus. Simon debout, le pantalon aux chevilles, les bobettes aux genoux se faisait aller avec toute l'énergie d'un volcan en fusion, créant des vagues voir même un ras de marré dans la graisse de Monique, ses seins bondissant aller retour entre ses épaules et son ventre, la grosse sueur qui lui coulait de partout, ses mentons qui frottaient ensemble révélant des rouleaux de crasse dans les plis, c'était écœurant à voir, toute cette graisse se faire brasser comme un gros bol de jello, le bruit que ça générait, comme si quelqu'un sautait à pieds joint et à répétition dans un trou de bouette, l'odeur dégueulasse de vidange corrompue qui se dégageait de leur point de jonction ... yeark! j'en ai des frissons. Ce qui sentait le vieux vinaigre devait effectivement tourner au vinaigre, Quand Olivier ouvra la porte sans avertissement, la scène qui se présenta devant lui a failli lui faire perdre connaissance. Enfin, pas juste la vue, il y avait aussi l'odeur.

L’enthousiasme d'Olivier fut démolie sur le champ. Il poussa un cri de détresse "NON!!!" un silence de mort se fit entendre, Simon arrêta son mouvement de va et viens endiablé. Une odeur de vieux poisson pourri et de charogne régnait dans le bureau. Une grosse flaque de jus épais et gluant ayant une vapeur visible tirant sur le vert, qui était sorti de Monique souillait le tapis et ça attirait les mouches et Pépé. Olivier était figé, la derniere grosse goute de jus de Monique tomba dans la flaque en s'étirant à la maniere d'un morvia épais dont la bavure remonte après s'être déchargé de son poids. Un nettoyage s'imposait. Réal fut engager pour nettoyer et empêcher le désastre écologique. Mais en se mettant la main dans le jus, il perdit 3 doigts et demi qui ont fondu en moins de temps que ça prend pour le dire. Il sorti du bureau en criant et il était en convulsions tous croyaient qu'il faisait une crise d'épilepsie. Pauvre Réal ça l'a tellement affecter qu'il en avait de la difficulté à prononcer ses mots. Réal n'était pas un génie naturel, mais au moins avant ça, il savait comment prononcer son nom. Mais à partir de ce moment la, il prononçait son nom Yéal. Évidemment le nom lui a collé. Walter rajouta: Au moins, Yéal n'aura plus jamais les doigts dans le nez, ça c'est sur. Au bout d'une semaine, le mess avait été ramasser. On a du couper le tapis et en remplacer une partie. Le bureau fut mis en quarantaine.


LE RETOUR DE FRANÇOIS.

Simon, avait été déménagé de bureau car il était trop dangereux pour l'environnement et avait été placer sous la surveillance de Walter. C'était sans aucun doute le meilleur choix car, Walter s'occupait à faire de la publicité pour un produit servant à protéger l'environnement. Le D.G avait vraiment pensé à tout. Walter ne laisserait sûrement pas Simon salir la réputation de la compagnie avec un scandale écologique. Walter était quand même un personnage fier avec un peu de classe. C'est juste qu'il avait des mauvais amis, se laissant occasionnellement influencer par eux, et ça lui avait valu cette réputation qui la suivait. De toute façon, le bureau de Simon était condamné. Personne n'aurait pu y survivre. Denis DuPaul avait été déplacer de devant le bureau d'Héloise, jusque devant le bureau en quarantaine pour augmenter la sécurité et du même coup, l'enlever de dedans les jambes.

Puis, venu de nulle part, entra ce personnage tant craint de tous dans un tourbillon de vent, faisant voler au passage un tas de brochures et de feuilles destinés à devenir des catalogues, mettant en tabarnac; Nicole, le D.G, Olivier et en tabernacle Timmerman. Puis il s’arrêta essoufflé et demanda " ou cé qui yé le tabarnac" après quelques secondes de silence total, tous pointèrent alors Walter du doigt. " Pas lui, l'autre esti de chien pas le tabernacle " Un soupir de soulagement sorti des poumons de Walter. Il avait eu peur de devoir dealer avec le petit arrogant qui venait de revenir de Tasmanie. Puis la porte s'ouvrit encore, Mais cette fois très au ralenti " Hey, C'ta qui le Jeep de coiffeuse en avant? " C'était le p'tit drogué d'acheteur René avec un mauvais timing et le Tasmanian devil lui sauta à la gorge. Quand il a eu fini de brasser René, en fait, après presque quinze minutes, Jean Guy avait réussi à le calmer en lui disant qu'on lui avait aménager un nouveau bureau plus grand et que Denis DuPaul l'attendait devant. Il lâcha prise et se dirigea vers son nouveau bureau. René se releva et dit: Wow man ça c'est un buzz!, J'en fumerai plus sur l'heure du lunch. Qui c'est qui a des Tillenols?. Nicole lui refila 2 Exlax qu'il avala sur le champ.

Denis qui avait été témoin de la scène riait dans sa barbe qu'il avait fait pousser pour ne pas être reconnu. Il n'avait même pas eu à rien faire pour que le Tasmanian Devil panique. Aussi, pensa t-il, je peu me servir de l'innocence des 2 de pique qui travaillent ici pour faire freaker François sans me compromettre. Puis il ramassa le laptop de Frank, que ce dernier avait laisser traîner et le donna à Patrice alias Pépé. Tiens Patrice sert toi en pour faire ton inventaire, suivre tes réparations, jouer à des jeux etc... Tu pourras aussi l'apporter chez toi pour y mettre les programmes de ton choix. mais tu devras formater le disque dur avant de t'en servir. Si Frank savait ça, Patrice et Denis M seraient des hommes morts.


REMOND SANS DÉTOUR


Pendant ce temps au secrétariat, Remond et ses bijoux fit son entré à la Arsenio Hall, en vedette, les bras dans les air, les mains ouvertes comme pour saluer son public inexistant, le sourire fendu jusqu'au oreilles. Salut Nicole, comment ça va ma chérie? Qu'est ce que tu penserait que moi et toi on se fasse du bien mutuellement? R'garde, depuis que je suis à mon compte je fais des tonnes de cash, je peux te faire jouir de ma fortune, tu seras bien avec moi. On vas s'aimer comme ça se peut pas. J'ai de l’expérience et toi tu est celle qui en profiterait. R'garde, il faut que tu pense à ton avenir. C'est pas en travaillant ici ou en te fiant sur la job de ton chum que tu vas pouvoir te payer du luxe. R'garde, toutes les filles aiment ça l'argent et le matériel, tu dois pas être différente des autres. R'garde si tu étais ma maîtresse pis que t'est gentille avec moi tu pourrais avoir des cadeaux, des choses que tu peut pas te payer autrement. R'garde, je vais aller parler à Walter et quand je vais revenir tu auras eu le temps d'y penser. R'garde si c'est pas toi qui en profite, ça va être une autre. Et Remond s'en alla rencontrer Walter laissant Nicole réfléchir sur son offre. En marchant il replaçait sa graine dans ses culotte car après avoir regardé la poitrine de Nicole, ça avait fait des effets spéciaux dans ses bobettes

Dans le bureau de Walter, il se passait des choses Hum!!! Walter avait engager une décoratrice intérieur, apparemment pour changer le décor de son espace de travail. Vu sa promotion récente, il pensait qu' un décor plus exécutif irait mieux avec son nouveau titre. Quand Remond entra dans le bureau de Walter, il y trouva effectivement la décoratrice. Elle n'était pas tout à fait en train de décorer mais plutôt agenouiller devant Walter et à première vue, elle lui extirpait du stucco avec sa bouche, pendant que Walter lui tripotait tout ce qu'il pouvait joindre avec ses mains. Était-ce pour mettre sur les plafonds? Walter s'exclama! Tabernacle, c'est tu une politique de rentrer dans les bureaux sans frapper ? c'est moi ton ami Remond. Walter, j'ai un deal pour toi. Vu que t'es mon chum, y faut que tu m'aide. On va devenir millionnaires. On va vendre de la guenille. Mon chum vend des brassières puis r'garde yé plein. Tu pourrais commencer avec ta décoratrice elle a pas l'air d'en avoir! R'garde avec toutes les femmes qui y'a dans le Québec si on en a 10% en cliente, r’garde, on va en vendre des brassières. Puis moi j'ai une idée originale. Je vais acheter une van pour y aménager des salles d'essayage, les filles vont pouvoir essayer les brassières sur place et nous autres on installe des caméras cachés. Comme ça, on vas pouvoir voir toutes les boules qu'on veux et puis celles qui ont des boules à notre goût on les fourrent r'garde. Qu'est-ce t'en pense? Remond tu vois pas que j'étais occuper? J'men colisse de tes brassières. Tout ce que je veux c'est de décorer mon bureau. C'est tu trop en demander ? Crime Walter je t'offre l'opportunité de ta vie. Tu pourrais avoir toutes les décoratrice que tu veux avec du cash r'garde. La preuve c'est simple je vais me mettre avec Nicole, je lui ai demandé de devenir ma maîtresse puis elle a pas dit non. Le cash ça fait mouiller n'importe quel femme. En tout cas je vais y penser, ferme la porte puis je t'appellerai. À part de ça, ça sent la marde. Remond quitta heureux en pensant avoir Walter pour faire ses ventes. En sortant, Remond s'enfargea dans René, coucher par terre gelé comme une balle, plein de marde qui essayait de se rendre aux toilettes en rampant. Apparemment les Exlax de Nicole faisaient effet, le Ducon s'était vidé pis pas a peu près. De la marde il y en avait à partir du dessour de bras jusqu'au bottines. Ca lui sortait de partout ou il y avait une ouverture, par les manches, la ceinture, les jambes de pantalons, le collet de chemise etc. Remond a tout taché ses coulottes, sa chemise, ses bijoux. En se relevant il arriva face à face avec Nicole. Il était tellement humilié qu'il oublia de demander à Nicole si elle avait pris une décision.

De son coté, le D.G soupçonnait Jean-Guy de vouloir devenir le bouncer de Remond. Car il s'était fais pousser les cheveux et s'était fait abonner par une pitounes au Nautilus plus pour ressembler à Jean-Claude Van Dam et commençait à s'exprimer comme lui. Ce qu'il ne savait pas, c'est que Ramoune avait en tête de se débarrasser de Denis et Jean-Guy. Un soir où Jean-Guy Van Dam cruisait dans un bar de Québec, une invitation à danser tourna à la tragédie bien sûr il se fit remarquer et un fier à bras engagé par Ramoune essaya de s'en prendre à lui. Mais ce que l'agresseur ignorait c'est que la pitoune que Jean Guy avait inviter à danser était ceinture noire en karaté et lui arracha presque la tête. grâce à sa pitoune il fut sauver de cette situation en mettant l'agresseur K.O.. Jean-Guy VAN DAM lui devait une fière chandelle. L'auto de la compagnie était pleine de sang ayant servi de piste d'atterrissage à l'agresseur à quelques reprise. Alors il demandait à la pitoune de devenir son chauffeuse et de passer au car wash pour que le D,G ne vois pas que Jean Guy se sert du véhicule de la compagnie après les heures de bureau, car Jean Guy n'avait plus de permis de conduire. Mais chemin faisant au car wash ils se sont tellement arrêter souvent pour baiser, aux lumières rouge, sous les viaducs, à tous les motels sur leur chemin etc... qu'ils ont omit d'aller au car wash et ont stationner l'auto au bureau. Le lendemain matin quand le D.G et René ont vu le sang, les bosses, et des bouts de guenille après l'auto pas la même guenille que celle de Remond, ils pensaient que Jean Guy avait passé sur quelqu'un avec. Jean Guy arriva au bureau en retard, du à la pitoune et avait des explications à donner.

Quand Jean Guy raconta à Olivier ce qu'il faisait avec sa chauffeuse, Olivier avait un hard on permanent. Tout ce que Olivier avait réussi à avoir sexuellement dans ses 25 ans de piètre existence, était un blow job de Patrice. Ce qui d'ailleurs lui avait donné une petite infection lui demandant 6 mois de guérison, le médecin n'avait jamais vu ce type d'infection habituellement donné par les orangs-outans...La tension était palpable dans tous les départements et il ne manquait qu'une petite goutte pour faire déborder le vase; Cette goutte se transforma en 20 gallons de Rhum cargo pur à 97% assez pour saouler un régiment incluant les chevaux. Le rhum, gracieuseté de Jean-Guy fut distribuer parmi les employés. Les pauvres ont fait un gros party ce soir là et ont abusé du liquide et à un tel point que certains d'eux, ont été désinfecté et tellement désinfecté que Monique a disparu.

Donc Monique fut remplacer par Suzanne. Suzanne était une blonde qui n'était pas du type à se laisser piller sur les pieds. D'ailleurs personne n'oserait lui piller sur les pieds, surtout pas René. Suzanne avait deux fois la grandeur, la largeur et le poids du petit drogué. Il s'abstiendrait donc de la contrarier de peur qu'elle l'envoi virevolter dans les airs d'une claque bien placé. Si le Tasmanian Devil peut le brasser comme il l'a fait, imaginez ce que Suzanne peut faire. Même le Tasmanian resta bouche bée en voyant Sue.


INTERVENTION DE LA GRC

Tout le monde s'affairaient à leur routine, c'était un jour ben ordinaire. Nicole essayait de convaincre un fournisseur que si son cheque n'avait pas été reçu, c'était probablement de la faute de la poste et non celle de la compagnie. Walter lui faisait rien de bon à part d'essayer de convaincre une de ses blondes qu'elle était la seule dans sa vie et qu'il ne baisait plus avec les huit autres...menteur!... Denis Dupaul, était dans les vaps. René était gelé et se demandait pourquoi il était dans ce bureau ou il se trouvait, pourtant il ne se souvenait pas d'avoir une job. Héloise essayait d'éviter le Téléphone et les employés pour ne pas être obliger de leur mentir. Denis M faisait freaker François au téléphone en lui disant que sa machine valait pas trente sous. Et J G se préparait à aller faire une job en dessous de la table.

Tout à coup, la place fut investie pour ne pas dire infestée, par des milliers...en fait ils étaient à peu près une dizaine. Il y avait des agents de la GRC et des enqueteux du chômage. En entrant, un d'eux s'est enfargé et s'est écrier Tabarnac! Donc le groupe de visiteurs fut dirigé dans le bureau de Walter. Jean Guy profita de la confusion pour sacrer son camp et éviter les questions. Les agents procédèrent à une série de saisies de papiers de toutes sortes. Ils désorganisèrent la compagnie en mêlant les cartes encore plus. Ca aussi ça faisait plaisir à J G. Ca rendait les services frauduleux encore plus difficile à détecter. Tous les employés furent questionnés en rapport avec des fraudes au chômage. En fait ils en voulaient au D.G. C'était lui le cerveau derrière toute cette magouille. Quelques employés ont mentis au sujet de la fraude, mais d'autres ont chier dans leur culottes, pas autant que le petit drogué mais assez pour que ça sente la marde. Quel merdier c'était devenu.

LA FUITE DU D.G ET DE FRANK


Les employés sont finalement revenu de leur choc quelques jours plus tard et la vie normale a repris son cour. Les tache de Sue étaient définis comme suit: suivre ce que René fait, et apprendre comment il fait pour pouvoir le faire mais en mieux. René s'était laisser aller quelque peu ces derniers temps et sa job n'était pas toujours fait du mieux qu'il pouvait. Il avait les gars de la marine sur le dos. Avoir Jean Guy et ses 200 livres sur le dos c'est pas toujours drôle. Surtout quand ton poids total habillé est environs 125 livres. En plus, il avait bullshitter Jean Guy avec une livraison d'équipement destiné à la Garde Côtière. Jean Guy était en saint ciboire. Il disait que René ne faisait pas sa job et que cet équipement aurait du être livrer déjà. René rétorqua que sa job était faite et que si le stock était pas arrivé c'était pas sa faute même que c'était payé. Et ajouta en trop; si t'es pas content mange d'la marde. Jean Guy voulait manger René qui s'était réfugier dans le bureau du D.G. D.G, faut que tu m'aide, tu m'a fait bullshitté à Jean Guy que son stock était payer puis la y veut me tuer. En plus il veut appeler le fournisseur pis il vas savoir que t'as dépensé les fonds pour acheter des billets d'avion pour toi, ta blonde Walter et François. O.K. je vais faire un meeting pour voir comment je peux t'aider. Le D.G appela ses conseillers sur l'intercom, mais malheureusement pour René, Frank faisait parti d'eux et il n'aimait pas le p'tit crisse de drogué. Il y eu une légère altercation entre René et Frank qui laissa un saignement de nez comme trace. Le nez qui saignait appartenait à René, bien sur. Et le meeting commença. Les gars, le gros est en sacrament après René puis il veut le tuer. Quossé qu'on fait? Ouan! Ben y'a rien qu'une chose à faire dit François, c'est de mettre René à la porte. Wo! Répliqua René c'pas ma faute ça. Non mais ça faisait longtemps qu'on cherchait une raison de te clairer donc, tu nas plus de job. René se leva pour sortir du bureau et soudainement le D.G l'arrêta. Ne sort pas par la porte, Jean Guy est de l'autre bord. Sort par la fenêtre. Walter toi tu vas prendre ce billet et tu vas aller au Brésil voir si il y a moyen de fourrer les brésiliens. Bonne chance et sort par la fenêtre.

Pendant ce temps, Jean Guy avait appeler son fournisseur pour le blaster et avait finalement été mis au courant que l'équipement tant attendu n'avait pas été payer et que c'était pour cela que l'envoi n'avait pas été fait. Aussi, il confronta heloise avec la question. Se sentant coupable, la petite comptable cracha le marceau... non, le morceau. C'est The Bert's qui a tout manigancer, il nous a fait mentir pour pouvoir utilisé ces fonds la pour faire des voyages. Ne me tue pas! Jean Guy répondu: ben voyons donc, je m'appelle pas François! Mais pour me venger à ton niveau, je vais dire à Denis D que tu es attirée par lui et que tu es trop gênée pour lui dire. Tu vas l'avoir aux fesses ou à ta porte pour le reste de tes jours.

Dans le bureau adjacent ou le meeting avait eu lieu, Frank et le D.G (the Berts) écoutaient à travers le mur et savaient que Jean Guy était maintenant au courant de pourquoi le stock n'était pas payer. Qu'est ce qu'on fait? On se sauve. Ou? J'ai des billets pour Jakarta. Tu peux pas les changer pour l'Afrique? Y'a un roi qui m'attend. Pas le temps il va nous tuer si il nous pogne. Ouai mais le roi veut me couper le...les...enfin. Intiquiette toi pas paceque ou on va, ya pas parsonne qui va te trouver. Vite par la fenêtre. Puis Frank et le D.G prirent la fuite dans la voiture de Ti-Gilles un ami de The Berts qu'il avait appeler pendant le meeting. Pendant leur fuite à l'aéroport, The Berts alias le D.G, demanda à son ami Ti-Gilles de lui faire une faveur. Ti- Gilles, tu vas faire quelque chose pour moi. Pendant mon absence, tu vas t'occuper de déménager mon bureau et l'administration dans tes bureaux de Mourial puis tu vas me prêter ¼ de millions de dollars et en échange, je te donnerai mon titre de D.G. qu'en pense tu? Ben j'sais pas la. Écoute, ton $ 250 000 tu vas le doubler avec ce deal la. Et Ti-Gilles accepta.

À son retour de l'aéroport, Gilles le D.G se rendit à la compagnie pour dire à tous qu'il était le nouveau D.G. Dés qu'il fut entrer dans les bureaux de la compagnie, Jean Guy lui demanda '' Ou est le tabarnac de menteur" Après quelques secondes de silence tous pointèrent Walter du doigt! Ah non, ce tabernacle la était parti au Brésil, je parles de The Berts. Ti-Gilles répondit: En chine je crois. Et oui il avait réussi à s'en sortir. Anyways maintenant, repris Gilles c'est moi qui est en charge et je déménage l'administration à mes bureaux en ville. Nicole et Héloise pacterent leur petits et déménagèrent en ville. Elles furent promise le paradis, toutes les chances d'avancement d'une grosse entreprise etc. Elles y croyaient vraiment, dans leur innocente naïveté. Mais ca leur avait donner un regain de vie. C'était tout ce que Jean Guy pouvait espérer. Ca ne pouvait ne venir que du ciel, c'était sûrement un signe, un signal de départ, un go ahead. Il ne restait personne pour voir ce qui se passait dans la compagnie. Ca y est on a le contrôle de dire Jean Guy à Denis. Mais Denis ne semblait pas comprendre ce que Jean Guy voulait dire. Ah non! Denis s'était fait lavé le cerveau par les rechercheux. Il était devenus leur esclave. Jean Guy se sentait alors seul dans sa quête vers la gloire. Dorénavant il ne pouvait se fier que sur lui même.
C'EST PARTI.



Ses pauvres amis s'était fait entourloupés par le marionnettiste sans s'en être rendus compte. Ils étaient devenus des robots au service de la recherche. Tous avaient oublié un détail, ça leur prenait des revenus pour survivre. Ca c'était dans les mains de Jean Guy qui lui, n'était pas un apôtre de The Berts. Ils étaient tous baiser sans exception. Ca allait les frapper éventuellement.

Jean Guy commença donc à détourner les clients à faire directement affaire avec lui de sa maison. De cette façon il pouvait se bâtir un compte de banque pour avoir des fonds pour sa nouvelle compagnie. Mais il avait besoin de créer un divertissement au cas ou quelqu'un s'apercevrait qu'il y a des détournements de fonds. Évidemment il y avait Mario. Mario avait tellement de besoin d'argent que c'était facile de l'embarquer dans quelque chose de croche. Mario, demanda Jean Guy; comment aimerais tu faire un peu d'extra? Amene z en répondit il. C'est simple, fais des jobs en dessous de la table. Ouais mais je veux pas me faire pogné. Inquiète toi pas de ça y'a plus personne pour nous cheker. Et Mario commença à faire des jobs en dessous de la table.

Quelques semaines plus tard, Jean Guy trouvait qu'il y avait encore trop de monde autour et décida de faire du ménage. Il appela Pépé dans son bureau. Quand ça frappa à la porte et que Jean Guy répondit entrez; ce n'était pas Pépé qui pénétra dans le bureau mais Denis D. Ou est héloise demanda t-il? Tiens tu est dégeler! S'exclama Jean Guy. Héloise ne travaille plus dans ce bureau depuis environs un mois et demi, elle a été transférer à Montréal. Montréal! S'exclama Denis D. Oui, oui Montréal, ah c'est vrai depuis que tu es gelé il s'est passer beaucoup de choses ici. Le D.G, c'est plus The Berts c'est Gilles, l'ancien D.G a pris la fuite avec le Tasmanian Devil en Chine, Monique est disparue, il y a une nouvelle fille qui s'appelle Sue qui remplace Monique et René qui lui a été mis à la porte. Et Pépé lui? Demanda Denis D. À ce moment la, Pépé entra dans le bureau. Oui, tu m'a appeler? Effectivement répliqua Jean Guy, tu es maintenant affecter à un nouveau poste. Ah oui! Et c'est quoi? La réponse de Jean Guy fut nette et précise: le chômage. Pépé quitta les lieux la larme à l'oeil. Denis D quitta les lieux la larme à l'oeil.

Jean Guy était prêt, il se rendit au bureau du centre ville pour annoncer qu'il quittait la compagnie. Il y rencontra The Berts. Tiens t'es revenu? Oui il fallait que je revienne ça a pas marcher en chine. Et Frank lui? Frank est prisonnier d'un roi de l'Afrique en Chine car sa fille était enceinte de François et il a faillit se faire couper le...les...enfin. le roi l'a trouver la bas et a décider de ne plus le laisser partir. Donc François vit maintenant en Chine avec sa femme Africaine et son enfant Africain sous la surveillance de son beau père Africain. Et Walter? Demanda JG. Walter n'a rien compris, je lui ai demander d'aller voir si on pouvais fourrer les Brésiliens avec notre machine pas fini et Timmerman Tabernacle lui a été fourrer toutes les Brésiliennes qu'il a pu trouver sur son chemin. Donc il est chez lui pour se reposer la queue, elle est tellement enflé qu'il n'est pas capable de marcher. Ca fait que on a pas de contrat avec le Brésil non plus. Et toi demanda le D... non... The Berts? Moi! Et bien je suis ici pour te dire que je m'en vais. Tu ne peux pas me faire ça ! tu as un contrat, si tu veux on vas partir une autre compagnie tu auras 30% et moi je serai le reste. Non oubli ça Bert ça ferait sûrement faillite ton nom est trop pourri. Et J G quitta sans regarder derrière.

LA FIN DE LA COMPAGNIE

Trois semaines plus tard, J G était prêt. Sa nouvelle compagnie était enfin partie. The Berts dut annoncer à tous ses employés qu'ils n'avaient plus de job, que la compagnie était en faillite. Il n'y avait plus de fonds pour les salaires, et que à partir de maintenant, c'était gérer par la banque. La banque avait quand même accepter de garder quelques uns des employés pour liquider le reste des stocks. Tous les autres n'avait plus rien, plus de job et pas de chômage parceque The Berts avait fourrer le chômage aussi et ses employés n'y avait pas droit. Quelques-uns s'en sont quand même bien tirer, les autres too bad.

The berts: Fait face à des tonnes de poursuites judiciaire de toutes catégories. Il a reparti sur un autre nom en essayant de faire des affaires à l'étranger. Il voudrait trouver le moyen d'aller vivre ailleurs avant que la GRC ai fini son enquête. Il envie François.

François : Il téléphone à l'occasion... de la Chine, bien sur.

La Poupoune: Elle n'a pas changer, c'est impressionnant ce que le maquillage peut faire et comment longtemps ça dure. Elle en a épais.

Denis Dupaul: Presque 2 ans plus tard, il ne sait toujours pas que la compagnie a fait faillite et continu d'y travailler. Il pense toujours à Héloise. Il est encore dans les vaps.

René : il ne sait pas qu'il existe encore. Savez, la drogue.

Monique: Elle a vraiment disparue.

Simon : Il est devenu sérieux quand il a croisé sa femme et qu'elle lui a rappeler qui elle était. Il est maintenant en affaire dans une autre ville. Pour le vrai !

Ti-Gilles : Il a doublé son prêt à Bert, soit 500 000. Il a passer pour le D.G dans la faillite et en fait parti. Il a tout perdu: sa femme, sa maison, son permis de syndic, son char, sa maîtresse, ses chums, son argent, ses bobettes, sa chemise et est également poursuivi en justice. De toute façon il n'a plus rien à perdre.

Walter : Il a maintenant une seule blonde et il essai de rester fidèle. Il est rester dans le domaine, le même genre de job pour Marconi. Excepté qu'il ne fait pas de catalogues.

Denis Marceau: Il est devenu l'associer de Jean Guy dans la nouvelle compagnie que Jean Guy était parti former.

Jean Guy: Il est devenu l'associer de Denis Marceau. Il a laisser tomber Nautilus Plus et sa chauffeuse.

Nicole : Elle s'était trouver une job dans une compagnie qui font des T-shirt, mais elle s'ennuyait de ses amis Denis et J Guy donc elle s'est quêter une job dans leur compagnie. Ayant eu pitié d'elle ils lui ont donner un poste de gossante.

Suzanne : Travaille dans la vente de campeur motorisé.

Remond: Se pense encore riche, commence à avoir un profil plus bas. Il n'a jamais eu Nicole et sa vente de guenille est tomber à l'eau. Il n'a pas vu de boules non plus. Il continu à fourrer ben du monde mais aucune femme. Il continu à penser qu'il a des chums. Tout le monde a hâte qu'il se baise.






FINI...